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Place des prothèses intermédiaires scellées dans le traitement des fractures du massif trochantérien du vieillard
SARAGAGLIA D; CARPENTIER E; GORDEEFF A
J CHIR (Paris) , 1985, vol. 122, n° 4, p. 255-260 Doc n°: 20831 Localisation : Documentation IRR Descripteurs : DE1 - MEMBRE INFERIEUR DANS SON ENSEMBLE, DE361 - TRAITEMENT CHIRURGICAL / HANCHE, MA - GERONTOLOGIE, DE3 - HANCHE De janvier 1980 à juillet 1983, 265 fractures de la région trochantérienne du vieillard ont été traitées dans le service du Pr.J. BUTEL. Si avant 1980, l'enclouage de Ender représentait plus de 75% des indications, les nombreux échecs inhérents à cette méthode (notamment dans les fractures complexes) ont orienté les auteurs vers une sélection beaucoup plus rigoureuse des indications, si bien que sur 265 observations, on retrouve : .110 prothèses intermédiaires scellées .136 enclouages de Ender .19 ostéosynthèses directes. A l'heure actuelle (et ceci depuis 2 ans environ), les indications se répartissent de la façon suivante : 50% de prothèses intermédiaires scellées, environ 40% de clous de Ender, 5 à 10% d'ostéosynthèses directes. Ce sont les fractures instables du massif trochantérien (fractures trochantériennes complexes, fractures à 3e fragment volumineux détachant le petit trochanter, fractures trochantéro-diaphysaires) chez des vieillards autonomes, de plus de 75 ans, qui constituent l'indication idéale des prothèses intermédiaires scellées. L'appui est immédiat, la mortalité guère plus élevée que dans les autres techniques (21%) et les résultats très satisfaisants (plus de 80% de bons et très bons résultats). Langue : FRANCAIS Tiré à part : OUI Identifiant basis : 1985001653 |
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